En parlant de son pays natal, Jean-Pierre Fragnière, que tout Veysonnaz connaît, nous dit : « Mon village était l'un des plus pauvres de la Suisse d'après-guerre. La viande et le beurre étaient des denrées rares et précieuses. Dans ce contexte, la solidarité était une condition de survie: c'est elle qui faisait qu'on ne se sentait pas pauvres.
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